Il était une fois un petit garçon qui s’appelait Alexandre DINAUT.
Sa naissance, en hiver 1979, fut déclenché par un fou rire de sa maman lors de la lecture d’un album de Tintin. De sa famille, en plus d’un grand frère, l’art en fait parti. Le cinéma, la musique, la littérature, la photographie, tout cela, Alexandre y est très tôt confronté.
son enfance sera parsemée de références artistiques et de transmission passionnelles. Toujours dans la lune, il regarde les étoiles, les pieds sur terre, se disant qu’un jour il fera du cinéma. Il crée des petits montages avec la caméra super 8 et les monte sur ses 2 magnétoscopes familiaux. Il expérimente, imbrique, débrique et construit la vision de son monde.
Il joue de la musique dans son groupe « CLOWN » et Alexandre veut s’exprimer depuis toujours. Il se raconte, se fait des films, se crée des mondes… dans lesquels les études n’en font pas forcément parties… restant dans la moyenne sans se fouler mais il décroche tout de même BTS COMMERCE qu’il renie 2 ans plus tard pour s’adonner au cinéma.
Il décroche alors une licence Cinéma Pro Scénario et commence son voyage cinématographique. Plusieurs courts-métrages, clips, pubs de tous horizons avec lesquels il gagne quelques concours et qui l’emmène à rencontrer des artistes et des gens de talents le guidant à aiguiser son regard vers le monde. Puis il se range dans une société audiovisuelle d’entreprise où il cadre, monte et réalise des films institutionnels depuis 9 ans. Durant tout ce temps, Alexandre est toujours passionné par l’image et prend tout le temps des photos, de tout, de rien, de la vie.
Cette habitude se transforme au fur et à mesure du temps en passion avec les photos de paysage, de la vie, du street, des autoportraits. La photo est pour lui devenue essentielle car l’expression est rapide, vive, spontanée, impulsive. Elle peut se faire sans réflexion, sans prise de tête juste au feeling, au lâcher prise…
Tout est une question de sensations. Alexandre n’aime pas se limiter. C’est un mangeur de beau, d’esthétisme et il est toujours à la recherche de la photo qui englobera le monde entier dans un cadre. C’est un touche-à-tout car tout le touche.